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Un indice de réparabilité permet de guider les consommateurs dans leurs achats de produits électriques et électroniques, du smartphone au lave-linge et même la tondeuse à gazon depuis le 1^er janvier 2021. Le critère du prix n’est plus le seul élément provoquant l’achat.

L’étiquette énergie est désormais accompagnée par celle de l’indice de réparabilité permettant aux consommateurs de savoir si l’appareil pourra être aisément réparé en cas de panne et la durée de disponibilité des pièces de rechange. Les PC, les téléviseurs suivront progressivement.

L’objectif est de parvenir à un taux de 60% de réparation des produits électriques et électroniques d’ici cinq ans et de lutter ainsi contre le gaspillage, le scandale de l’obsolescence programmée.

Le but est de faire évoluer notre modèle économique actuellement très polluant vers un modèle plus durable dans l’air du temps et de plus en plus plébiscité par la population.

Ce nouvel indice est très lisible avec une notation de 1 à 10 avec un affichage de couleur allant de vert foncé au rouge vif pour le plus mauvais.

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Pour plus d’informations cliquez sur le lien suivant :

https://www.economie.gouv.fr/particuliers/tout-savoir-indice-reparabilite#

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Des distributeurs sont les champions de la réparabilité avec un service après-vente de grande qualité depuis longtemps comme par exemple FNAC Darty qui publie un baromètre des produits des marques.

Ce groupe français est devenu le 1^er réparateur avec 4 ateliers et 2000 techniciens au service des consommateurs désirant faire réparer leurs appareils même achetés dans un autre magasin.

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Des marques se distinguent comme Miele, Electrolux et Siemens qui se retrouvent sur le podium de l’excellence. Ces marques ont compris que le prix n’est pas le seul critère d’achat.

Chez Beko France les pièces de rechange sont disponibles pendant onze ans.

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Par ailleurs le métier de réparateur est sous tension. Il est actuellement difficile de trouver du personnel spécialisé et les centres de formation n’ont pas anticipé l’engouement des consommateurs pour les produits aisément réparables. Cette formation de 3 ans n’était pas répertoriée dans la plateforme Parcoursup. L’oubli doit disparaître.

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Pour les vélos, les vendeurs doivent faire face aussi bien à des tensions sur le pièces détachées que pour la main d’œuvre spécialisée.

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Ci-dessous un article du journal les Echos dans la rubrique techs et médias :

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Comité de rédaction de l’association Crépy environnement et qualité de la vie